Written by Simon McGinley, Projecy Lead NLA and National French Language Adviser
La ville de Trois-Rivières
Simon à Trois-Rivières
Récemment, j’ai eu le plaisir d’assister à la conférence annuelle de l’Association américaine des professeurs de français à Trois-Rivières, une ville qui se trouve à une heure et demie au nord-est de Montréal. La plupart des présentations était axée sur la justice sociale et sur la manière d’exploiter la salle de classe de français afin de montrer qu’elle peut être un véhicule pour promouvoir la sensibilisation à la tolérance, à l’égalité et plus globalement, à la paix.
Un moment très particulier pour toute personne présente ayant écouté le discours inaugural donné par Marie-Célie Agnant, la poète officielle du Parlement du Canada, qui nous a raconté sa lutte en tant qu’écrivaine noire et elle a également parlé de sa relation turbulente avec sa terre natale : Haïti. C’est grâce à son rapport aux langues qu’elle a trouvé son chemin dans la vie, qui me paraît être un message touchant à partager avec nos élèves.
L’échange d’idées et de conversations avec des pédagogues d’Amérique du Nord auront été, pour moi, inestimables. C’est toujours intéressant de voir l’expression de surprise quand ils apprennent que l’enseignement des langues étrangères n’est pas obligatoire à aucun niveau du programme scolaire en Nouvelle-Zélande !
Un autre point fort à retenir de la conférence, et ce, grâce à son thème de la justice sociale, est de savoir qu’ils parlent aussi de décoloniser leur curriculum d’enseignement, même si pour eux, le contexte diffère par rapport à la situation en Nouvelle-Zélande.
Suite à cela, plusieurs séances ont été consacrées à la littérature africaine afin de rendre plus pertinent le patrimoine culturel des élèves originaires des Etats-Unis.
D’un point de vue professionnel et personnel, j’ai beaucoup apprécié l’occasion d’améliorer mon français et d’apprendre quelques mots de québécois ! J’espère bientôt partager de nouvelles idées avec vous !
The NZ Liberation Museum – Te Arawhata, Photo: Robert Hanson
NZ soldiers in an orchard near Le Quesnoy,France 29 Oct 1918. Photo: Henry Armytage Sanders H1128 NZ RSA Collection, Alexander Turnbull Library, Wellington NZ.
The New Zealand Liberation Museum – Te Arawhata is Aotearoa’s first memorial museum in Europe for Kiwi soldiers who died on the continent during World War One and it opens on the 11th of October 2023. The visitor experience is created by Wētā Workshop.
New Zealand soldiers freed the citizens of Le Quesnoy on the 4th of November 1918, after four years of German occupation. The liberation gave rise to an enduring friendship between the people of Le Quesnoy and New Zealand.
“It is Aotearoa’s tūrangawaewae on the Western Front,” says Sir Don McKinnon, Chairperson of the New Zealand Memorial Museum Trust – Le Quesnoy (NZMMT).
Wētā Workshop Senior Creative Director, Andrew Thomas, says the aim is to create an immersive storytelling experience, highlighting the human stories behind the liberation.
Our Educational Strategy
The NZMMT will engage with collaborators to develop a range of learning resources which will incorporate Intermediate and Senior levels of New Zealand and French curriculums of History, Social Science, and French language. Online learning modules for both New Zealand and French students will allow students on both sides of the world to feel the historical connection between their nations and kindle future exchanges.
We are at the beginning of the journey of developing our educational offering. If you wish to take part in this meaningful project as a contributor of French resources about Le Quesnoy or WW1, we would love to hear from you.
Article written and provided to Tui Tuia | Learning Circle by:
Written by Simon McGinley, Projecy Lead NLA and National French Language Adviser
La ville de Trois-Rivières
Simon à Trois-Rivières
Récemment, j’ai eu le plaisir d’assister à la conférence annuelle de l’Association américaine des professeurs de français à Trois-Rivières, une ville qui se trouve à une heure et demie au nord-est de Montréal. La plupart des présentations était axée sur la justice sociale et sur la manière d’exploiter la salle de classe de français afin de montrer qu’elle peut être un véhicule pour promouvoir la sensibilisation à la tolérance, à l’égalité et plus globalement, à la paix.
Un moment très particulier pour toute personne présente ayant écouté le discours inaugural donné par Marie-Célie Agnant, la poète officielle du Parlement du Canada, qui nous a raconté sa lutte en tant qu’écrivaine noire et elle a également parlé de sa relation turbulente avec sa terre natale : Haïti. C’est grâce à son rapport aux langues qu’elle a trouvé son chemin dans la vie, qui me paraît être un message touchant à partager avec nos élèves.
L’échange d’idées et de conversations avec des pédagogues d’Amérique du Nord auront été, pour moi, inestimables. C’est toujours intéressant de voir l’expression de surprise quand ils apprennent que l’enseignement des langues étrangères n’est pas obligatoire à aucun niveau du programme scolaire en Nouvelle-Zélande !
Un autre point fort à retenir de la conférence, et ce, grâce à son thème de la justice sociale, est de savoir qu’ils parlent aussi de décoloniser leur curriculum d’enseignement, même si pour eux, le contexte diffère par rapport à la situation en Nouvelle-Zélande.
Suite à cela, plusieurs séances ont été consacrées à la littérature africaine afin de rendre plus pertinent le patrimoine culturel des élèves originaires des Etats-Unis.
D’un point de vue professionnel et personnel, j’ai beaucoup apprécié l’occasion d’améliorer mon français et d’apprendre quelques mots de québécois ! J’espère bientôt partager de nouvelles idées avec vous !
The NZ Liberation Museum – Te Arawhata, Photo: Robert Hanson
NZ soldiers in an orchard near Le Quesnoy,France 29 Oct 1918. Photo: Henry Armytage Sanders H1128 NZ RSA Collection, Alexander Turnbull Library, Wellington NZ.
The New Zealand Liberation Museum – Te Arawhata is Aotearoa’s first memorial museum in Europe for Kiwi soldiers who died on the continent during World War One and it opens on the 11th of October 2023. The visitor experience is created by Wētā Workshop.
New Zealand soldiers freed the citizens of Le Quesnoy on the 4th of November 1918, after four years of German occupation. The liberation gave rise to an enduring friendship between the people of Le Quesnoy and New Zealand.
“It is Aotearoa’s tūrangawaewae on the Western Front,” says Sir Don McKinnon, Chairperson of the New Zealand Memorial Museum Trust – Le Quesnoy (NZMMT).
Wētā Workshop Senior Creative Director, Andrew Thomas, says the aim is to create an immersive storytelling experience, highlighting the human stories behind the liberation.
Our Educational Strategy
The NZMMT will engage with collaborators to develop a range of learning resources which will incorporate Intermediate and Senior levels of New Zealand and French curriculums of History, Social Science, and French language. Online learning modules for both New Zealand and French students will allow students on both sides of the world to feel the historical connection between their nations and kindle future exchanges.
We are at the beginning of the journey of developing our educational offering. If you wish to take part in this meaningful project as a contributor of French resources about Le Quesnoy or WW1, we would love to hear from you.
Article written and provided to Tui Tuia | Learning Circle by: