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"Un saucisson corse sacré champion du monde"
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
"Saucisson corse : plus rustique que le sauciflard de supermarché !"
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
¨La Visite au Vieux Québec¨
Written by Braden Bryant, French Teacher, Cambridge High School
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
Photo 1: Corsican pig
Christophe Piazza, éleveur et charcutier à Zicavo, en Corse, a remporté le titre mondial 2025 du Mondial Rabelais du saucisson avec un produit fabriqué dans le respect des méthodes traditionnelles. Ce prix vient récompenser un savoir-faire transmis par son père Joseph, ancré dans la culture et les paysages corses.
À 800 mètres d’altitude, ses porcs vivent en semi-liberté sous les châtaigniers, nourris d’herbes et de glands. Ce mode d’élevage, bien loin de l’intensif, permet d’obtenir une viande de qualité. Le saucisson primé est affiné pendant huit mois dans une salle ouverte à l’air libre, selon une technique ancienne de salage par enfouissement.
Déjà champion de France en 2023, Piazza a voulu se mesurer à l’international « pour aller plus loin ». Sur les 191 saucissons lors du concours en Ardèche, le sien a su se démarquer.
Ce prix met en avant les produits corses et valorise un métier exigeant, transmis de génération en génération. Si la majorité de sa production est vendue localement, cette récompense apporte une belle reconnaissance à l’île. Pour Christophe Piazza, ce titre a surtout une portée personnelle et familiale : « C’est une façon de montrer que la Corse sait aussi faire de belles choses. »
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
Photo 2: French salami
Le saucisson corse est bien plus qu’un simple produit de charcuterie : c’est un symbole culturel, un héritage transmis de génération en génération. Fabriqué à partir de porcs élevés en semi-liberté dans les montagnes, nourris naturellement de glands, de châtaignes et d’herbes, il incarne un savoir-faire ancestral profondément lié au terroir. En Corse, l’élevage est extensif, la croissance des animaux lente, et la transformation se fait selon des méthodes traditionnelles : salage à sec, séchage à l’air libre et affinage long, parfois jusqu’à huit mois.
Ce qui distingue le saucisson corse du saucisson français dit "classique", c’est avant tout la typicité des races porcines utilisées (souvent des lignées rustiques spécifiques à l’île) et leur alimentation. Alors que de nombreux saucissons français sont produits industriellement ou à partir de porcs élevés de manière intensive, le saucisson corse reste attaché à une production artisanale et à petite échelle. Son goût est plus prononcé, plus rustique, avec des arômes de sous-bois, de fumée et une texture ferme, reflet du climat montagnard et du séchage naturel.
Le saucisson français, très varié selon les régions (saucisson d’Auvergne, rosette de Lyon, saucisson sec des Alpes…), est en général plus doux, souvent affiné plus rapidement et parfois moins gras. Il peut intégrer des ingrédients comme l’ail, les noisettes ou le poivre. Le saucisson corse, quant à lui, mise sur la simplicité, l’authenticité et le goût pur d’une viande de qualité, élevée avec soin et transformée avec respect.
Written by Braden Bryant, French Teacher, Cambridge High School.
La visite à Québec, spécifiquement à la vieille ville, était magnifique. Arrivant le samedi après-midi, on a eu deux heures libres, alors on a pu explorer les rues, les ruelles et les commerces. C’est quand même très touristique – il n’y a que les restaurants ou les magasins de souvenirs. Les bâtiments sont très intéressants, avec des influences de plusieurs époques différents, ce qui donne un caractère assez unique.
Le soir on est allé à bord de la croisière Louis Jolliet, où on avait une réservation pour le ‘souper’ tout en navigant sur la rivière Saint Laurence. Matyse, notre serveur, était très gentil et la nourriture aussi était très bonne, avec la plupart d’entre nous choisissant le pavé de saumon ou la joue de bœuf. Il y avait même deux pistes de dance à bord, dont Saskia and Susan ont profité.
Le lendemain, dimanche matin, on a eu rendez-vous avec Jean-Pierre – notre guide pour une visite de la vieille ville. Jean-Pierre était super. Il parlait avec beaucoup de passion de sa ville et avec une très grande connaissance de l’histoire de Québec. Il savait toutes les dates importantes par cœur, aussi bien que toutes les personnes importantes dans l’histoire de la ville, coté anglais et français. Il avait aussi un accent québécois très fort, alors il fallait se concentrer pour comprendre ce qu’il disait…
Malheureusement, ce matin-là, la météo n’était pas super. A la fin, tout le monde était trempé, mais on a continué quand même jusqu’au bout.
En gros, Québec est une ville que nous avons trouvé très belle et très intéressante et tout le monde a envie d’y retourner. Malgré le mauvais temps, on a pu apprécier la beauté de cet endroit historique de la région de Québec.
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
Photo 1: Corsican pig
Christophe Piazza, éleveur et charcutier à Zicavo, en Corse, a remporté le titre mondial 2025 du Mondial Rabelais du saucisson avec un produit fabriqué dans le respect des méthodes traditionnelles. Ce prix vient récompenser un savoir-faire transmis par son père Joseph, ancré dans la culture et les paysages corses.
À 800 mètres d’altitude, ses porcs vivent en semi-liberté sous les châtaigniers, nourris d’herbes et de glands. Ce mode d’élevage, bien loin de l’intensif, permet d’obtenir une viande de qualité. Le saucisson primé est affiné pendant huit mois dans une salle ouverte à l’air libre, selon une technique ancienne de salage par enfouissement.
Déjà champion de France en 2023, Piazza a voulu se mesurer à l’international « pour aller plus loin ». Sur les 191 saucissons lors du concours en Ardèche, le sien a su se démarquer.
Ce prix met en avant les produits corses et valorise un métier exigeant, transmis de génération en génération. Si la majorité de sa production est vendue localement, cette récompense apporte une belle reconnaissance à l’île. Pour Christophe Piazza, ce titre a surtout une portée personnelle et familiale : « C’est une façon de montrer que la Corse sait aussi faire de belles choses. »
Written by Dr. Florence Lyons, Facilitator, Tui Tuia | Learning Circle.
Photo 2: French salami
Le saucisson corse est bien plus qu’un simple produit de charcuterie : c’est un symbole culturel, un héritage transmis de génération en génération. Fabriqué à partir de porcs élevés en semi-liberté dans les montagnes, nourris naturellement de glands, de châtaignes et d’herbes, il incarne un savoir-faire ancestral profondément lié au terroir. En Corse, l’élevage est extensif, la croissance des animaux lente, et la transformation se fait selon des méthodes traditionnelles : salage à sec, séchage à l’air libre et affinage long, parfois jusqu’à huit mois.
Ce qui distingue le saucisson corse du saucisson français dit "classique", c’est avant tout la typicité des races porcines utilisées (souvent des lignées rustiques spécifiques à l’île) et leur alimentation. Alors que de nombreux saucissons français sont produits industriellement ou à partir de porcs élevés de manière intensive, le saucisson corse reste attaché à une production artisanale et à petite échelle. Son goût est plus prononcé, plus rustique, avec des arômes de sous-bois, de fumée et une texture ferme, reflet du climat montagnard et du séchage naturel.
Le saucisson français, très varié selon les régions (saucisson d’Auvergne, rosette de Lyon, saucisson sec des Alpes…), est en général plus doux, souvent affiné plus rapidement et parfois moins gras. Il peut intégrer des ingrédients comme l’ail, les noisettes ou le poivre. Le saucisson corse, quant à lui, mise sur la simplicité, l’authenticité et le goût pur d’une viande de qualité, élevée avec soin et transformée avec respect.
Written by Braden Bryant, French Teacher, Cambridge High School.
La visite à Québec, spécifiquement à la vieille ville, était magnifique. Arrivant le samedi après-midi, on a eu deux heures libres, alors on a pu explorer les rues, les ruelles et les commerces. C’est quand même très touristique – il n’y a que les restaurants ou les magasins de souvenirs. Les bâtiments sont très intéressants, avec des influences de plusieurs époques différents, ce qui donne un caractère assez unique.
Le soir on est allé à bord de la croisière Louis Jolliet, où on avait une réservation pour le ‘souper’ tout en navigant sur la rivière Saint Laurence. Matyse, notre serveur, était très gentil et la nourriture aussi était très bonne, avec la plupart d’entre nous choisissant le pavé de saumon ou la joue de bœuf. Il y avait même deux pistes de dance à bord, dont Saskia and Susan ont profité.
Le lendemain, dimanche matin, on a eu rendez-vous avec Jean-Pierre – notre guide pour une visite de la vieille ville. Jean-Pierre était super. Il parlait avec beaucoup de passion de sa ville et avec une très grande connaissance de l’histoire de Québec. Il savait toutes les dates importantes par cœur, aussi bien que toutes les personnes importantes dans l’histoire de la ville, coté anglais et français. Il avait aussi un accent québécois très fort, alors il fallait se concentrer pour comprendre ce qu’il disait…
Malheureusement, ce matin-là, la météo n’était pas super. A la fin, tout le monde était trempé, mais on a continué quand même jusqu’au bout.
En gros, Québec est une ville que nous avons trouvé très belle et très intéressante et tout le monde a envie d’y retourner. Malgré le mauvais temps, on a pu apprécier la beauté de cet endroit historique de la région de Québec.